Un livre porteur de sens

Le livre

Dessins Séquences : Série du « New Yorker », de Richard McGuire (Editions Gallimard – 584 pages)

« Les objets qui nous entourent et les scènes à priori anodines du quotidien prennent vie de manière étonnante grâce au trait minimaliste et au regard malicieux de Richard McGuire. Coup de foudre impossible dans l’ascenseur, trajet mouvementé en taxi ou étude comportementale du pigeon, autant de séquences courtes, saillies artistiques simples et jouissives, qui confirme l’immense talent d’un artiste à la créativité graphique incomparable.
Les dessins de ce livre ont paru, de manière individuelle et sous une forme légèrement différente, dans The New Yorker, de 2005 à 2015. »

Une bouteille méticuleusement choisie

Le vin

  • Domaine : Vins des Cinq
  • Cuvée : Esprit de famille (bulles)
  • Cépage : 80 % Chardonnay, 20 % Müller-Thurgau

Notes de dégustation :
Belle limpidité et brillance éclatante à l’œil, nez discret qui s’épanouit ensuite sur des notes agrumes, puis des arômes floraux et une minéralité qui sent bon le terroir, bouche vive avec des arômes subtils de pamplemousse, fraîcheur et élégance – avec une touche végétale – jusqu’au final.
Complicités gastronomiques :
L’Esprit de famille se marie parfaitement avec des huîtres ou langoustines grillées ou avec une sauce légère au citron. Belle association avec un bar ou une dorade grillés avec un filet de citron et des herbes fraîches, ou encore un tartare de saumon.

L’avis d’Aurélie

En voilà de beaux cabochons ! Des quoi ? Richard McGuire a un talent infini pour des dessins minimalistes… Les cabochons sont donc ces petits croquis qu’on retrouve tantôt en fin de chapitre dans des livres, tantôt – comme ici – dans les colonnes de journaux pour aérer la mise en page. On parle de « dessins-séquences » car, mis bout à bout, il forme comme une bande-dessinée animée. Ils peuvent être dispersés dans un même journal, ou dans plusieurs éditions jour après jour, voire même, mois après mois. Réunis de la sorte, ces cabochons sont un véritable voyage dans l’imaginaire du dessin !

L’avis d’Antoine

Pousser la porte du chai du domaine des Vins des Cinq, c’est déjà se sentir chez soi. Ouvrir la porte vitrée qui mène à la terrasse, qui elle-même épouse les lignes des rangs de vigne, c’est aller un cran plus loin dans la convivialité et le bien-être. Alors, quand on finit, sur cette même terrasse, avec un verre de ce vin effervescent bien de chez nous à la main, en compagnie de l’un des cinq frères et sœurs, on se demande si on a encore une raison valable de quitter ce coin de paradis …

Surprenez avec une touche d'originalité !

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